Des nouvelles de quelques dossiers. Les associations d’anciens combattants obtiennent gain de cause. De nouveaux commerces. Des subventions pour le SDUS.

, par La Rédac’

Le maire revient à la raison. On vous en avait parlé ici. Les associations d’anciens combattants risquaient de perdre le local partagé qu’elles occupent à la Bourse du travail, la municipalité souhaitant récupérer des espaces suite à l’incendie du rez-de-chaussée du centre administratif. L’opposition des associations à être repositionnées dans un seul et tout petit bureau de la Bourse a fini par être entendue. Il a fallu leur opiniâtreté et le soutien du député Stéphane Peu qui a interpellé et écrit à Mathieu Hanotin pour que cette affaire soit enfin réglée.

Ce qui ne l’est pas en revanche c’est le sujet du financement des cars. Selon nos informations, la dernière sortie d’une des associations restera totalement à leur charge. A suivre donc.

La bonne affaire pour le repreneur. Un candidat à la reprise de Place au fromage désigné. Un fromager va donc reprendre cette activité rue Gabriel Péri. Trois offres étaient en concurrence. Quasiment avec la même offre en termes de prix, 5000 euros les séparant mais surtout l’une, la moins disante financièrement mais portée par un investisseur, par ailleurs juriste de formation mais tout de même fromager (oui c’est possible !), a emporté l’adhésion et l’adoubement de la Foncière Commerce que préside le Maire, vis à vis d’une autre offre portée par un coiffeur de profession. Sage décision donc. On taira le montant des offres mais entre le montant investi par l’ancien exploitant de Place au fromage et le montant offert par le repreneur le delta est très significatif, de 1 à 6. Une excellente affaire pour le nouvel exploitant dont, à ce jour, nous ne connaissons pas le calendrier d’ouverture.

Pub partout. Du côté de l’îlot la municipalité entendait valoriser le secteur avec des commerces dit éphémères. Ce qui semble être permanent c’est le non respect de la politique qui concerne les enseignes.

En effet, s’installe actuellement un magasin offrant des services de manucure, onglerie et cie. Les vitrines sont mitées d’autocollants publicitaires. Il est vrai que la municipalité donne le mauvais exemple avec sa volonté de transformer la patinoire en support de publicités. Pourquoi donc alors se gêner ! Surtout que les mauvais exemples ne manquent pas.

Parfums. A côté du poissonnier, Au grand large, installé rue Auguste Blanqui doit s’ouvrir une parfumerie. Quand ? On ne sait pas. On va creuser.

Travaux. A côté de l’Adada, rue Gabriel Péri des travaux dans ce qui fut, dernièrement, un magasin d’instruments de musique. Pour y faire quoi ? On ne sait pas non plus. Idem, du côté de l’Ilot Shop, des travaux dans un local donnant sur la place du Caquet. Pour faire quoi ? Quand ? On ne sait pas. On va creuser là aussi. On vous avait déjà fait part de quelques informations côté commerce.

201 000 euros et 75 000 euros. Ce sont les montants qui devraient in extremis être attribués au SDUS. Ils seront proposés au vote du conseil municipal le 14 décembre. 201 000 euros comme solde de subvention pour la saison 2022/2023 (cela permettra d’éviter une cessation de paiement au SDUS à fin janvier) et 75 000 euros au titre d’une avance sur la saison 2023/2024. Tout cela arrive au dernier moment et comme l’indique le SDUS une avance sans connaitre le montant total de la subvention rend très très difficile la programmation des activités et génère beaucoup de stress dans les équipes et les salariés. On en avait parlé dernièrement en publiant tous les échanges de courriers.